Extrait n°7:

Extrait n°7:

. J'avais l'impression d'avoir pris de la drogue et de tout ressentir comme si cela arrivait à quelqu'un d'autre. Alors je me sentis glisser lentement vers le sommeil. Tout mon corps devenait lourd et je ne sentis bientôt plus aucun de mes membres. C'était la fin, je le savais, la fin de l'angoisse que j'avais ressentit jusque là. La fin de toute douleur, de toute peur, mais aussi la fin de toute joie, de bonheur. J'ignore pourquoi je pensais à mon chien (Batdog) au moment où j'allais mourir. A nos promenades dans le parc, a Marc qui nous accompagnait.

Marc... Son visage en forme de coeur, sa génrosité, son amitié incondionel pour moi. Il avait toujours était là pour moi. Même après que je l'ai traité si injustement lorsque j'avais romput avec lui, à l'enterrement de ma mère, il avait été présent à tout les moments importants de ma vie. Il allait me manquer au paradis ou n'importe quel endroit où l'on va après la mort. Pourquoi avais je été si dur envers lui? Je regrette tellement Marc, si tu savais!

Mes dernières pensées furent estompées par des cris, d'homme, d'oiseau? Je ne savais plus, je n'arrivais même plus à soulever les paupières pour tenter de comprendre la source de ce bruit qui m'empêchait de partir, de dormir.

Laissez moi dormir! Je suis si fatiguée...

Au moment où je pensais ces mots, les crocs planter dans ma chair furent violemment arrachées. La douleur fut si horrible et surprenante que je réussit à produire un son. Je crois que c'était un gargouillement. Mais soudain, cette douleur fut ensevelie sous une autre, encore plus puissante: elle me bloquait la respiration, m'empêchait de réfléchir ou même de bouger. Bien que je pense qu'étant donné l'état dans lequel je me trouvais avant que mon tueur ne soit écarté par je ne sais quel force mystique, je n'aurais put faire le moindre mouvement. Cependant la douleur augmentait, ma tête allait exploser, mon être tout entier était en flamme, pourtant il ne semblait pas vouloir se conssumer.

Pitié!!!!! FAITES QUE SA S'ARRETE!!!!! JE NE PEUX PLUS LE SUPPORTER!!!!!! MA TÊTE BRÛLE!!!! JE VOUS EN SUPPLIE, QUE QUELQU'UN M'AIDE!!!!!

Je n'émettais que des hurlements silencieux car ma langue était toujours incapble de remuer. A chaque moment,  où je croyais ne plus pouvoir supporter cette douleur, une autre plus intense reprenait le dessus. Cette chose m'attaquait dans tout le corps silmultanément. Mon coeur paraisssait la cible préférée du monstre qui me rongeait les os